Le 7 février dernier, une victime d’effets secondaires graves avait saisi le conseil d’Etat afin de suspendre les dispositions du décret imposant la 3e dose. Olivier Véran avait enfin reconnu à cette occasion l’existence d’effets secondaires graves liés à la vaccination, ce qui n’a cependant pas suffit à convaincre le Conseil d’Etat de suspendre le décret en question. Seule petite victoire : il est possible d’obtenir un certificat de contre-indication à la vaccination en cas d’effets secondaires sévères ou graves.
ENCORE UNE VIDEO SUR YOUTUBE, LA CHAINE DES NAZIS DE CHEZ GOOGLE GESTAPO.
RESULTAT: ON BOYCOTTE
BITCHUTE, VOUS CONNAISSEZ ?