Mathilde
Suis professionnelle paramédical en ehpad. Suite aux injections Pfizer réalisées dans le cadre de la vaccination chez les personnes âgées je souhaite apporter mon témoignage :
1er résident, vacciné le jeudi, fièvre le vendredi (38.1), dégradation de l’état général du résident certes affaibli par sa pathologie et par un covid développé quelques mois plus tôt. Décès le dimanche. Nous sommes plusieurs à penser que l’injection à précipité le décès mais c’est un vieux quoi donc enterré et motus et bouche cousu.
2ème résident, survit à un covid symptomatique malgré un seul poumon. Décèdera dans la nuit quelques semaines après l’injection Pfizer.
3ème résident, survit à un covid symptomatique. Se rétablit bien après hospit. Refus de l’injection qui sera quand même effectué par chantage auprès de la fille. Dégradation de l’état général et décès 3 semaines plus tard. Mais …. c’est un vieux … normal qu’il meurt un jour de sa vieillesse !!!
4ème résident : piquouzé pour entrer dans l’établissement 3 mois plus tôt. Patient Alzheimer retrouvé décédé dans sa chambre en pleine après-midi.
5ème résident : Piquouzé pour entrer dans l’établissement 6 mois plus tôt. 4 mois plus tard dégradation de son état de santé, hospit, retour prévu car santé bien stabilisée et décès subit le jour du retour… un vieux quoi !
Parmi tous ces cas nous n’avons bien évidemment aucune preuve formelle qu’il s’agisse des injections effectuées mais travaillant en ehpad depuis des années je peux vous garantir que je n’ai jamais vu une telle hécatombe en si peu de temps.
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