Sophie Giampetruzzi
Bonjour,
Étant aide-soignante, célibataire et soutien de famille, il était très compliqué de refuser les injections, puisque j’aurais été suspendue dans la foulée comme plusieurs de mes collègues.
La première dose n’a eu aucun effet perceptible. Par contre après la 2ème, je me suis retrouvée, sans aucun élément nouveau dans mon quotidien, totalement bloquée au niveau des cervicales : je ne peux plus tourner la tête à droite ou à gauche, la douleur est de 6 sur une échelle de 0 à 10, elle est constante jour et nuit, et mon sommeil en a été très affecté.
Je dois faire des pauses tous les quarts d’heure, il m’est impossible de porter des charges au-delà d’environ deux kilos ; j’ai contacté mon médecin traitant, j’ai une arthrose cervicale connue depuis 30 ans, qui ne m’a jamais empêchée de bouger, travailler, porter des charges même lourdes, etc… ma vie était normale, elle ne l’est plus du tout.
Mon médecin traitant a admis lors de ma 1ère consultation que l’injection pouvait éventuellement avoir déclenché cette réaction inflammatoire aiguë, puis s’est rétracté lorsque j’ai voulu faire une déclaration d’évènement indésirable sur le site gouvernemental dédié.
Il m’a envoyé à Dijon pour une confirmation de diagnostic auprès d’une rhumatologue, qui semblait très surprise des symptômes que je lui rapportais, l’inflammation étant très localisée, ce qui ne semblait pas correspondre au tableau clinique attendu : elle a insisté à plusieurs reprises sur des douleurs éventuelles dans la région lombaire, que je n’éprouve pas du tout.
J’ai rendez-vous avec un neurochirurgien pour une éventuelle intervention au mois de juin.
Après réflexion, je me suis tournée, sur les conseils d’une pharmacienne, vers une pharmacopée naturelle afin de ne pas rester dans une posture de victime et de pouvoir au moins soulager cette douleur tout à fait inédite.
Le seul traitement que l’on m’a proposé étant les corticoïdes, je l’ai refusé.
Autour de moi, mais sans avoir pu le vérifier, j’ai entendu des collègues parler de certains personnels qui souffraient d’une fatigue intense et inhabituelle, et de douleurs fortes dans les jambes.
Par contre, tous les services de l’hôpital (Semur-en-Auxois) où je travaille ont connu une recrudescence de personnels très malades du Covid en début de cette année, sans commune mesure avec les quelques cas des années précédentes.
Ce que nous vivons est un authentique cauchemar. Nous avons, ainsi que les autres professions concernées par l’obligation vaccinale, le pistolet sur la tempe : sans vaccination, nous perdons notre travail et donc les moyens de subvenir à nos besoins et à ceux de notre famille.
Je vous remercie pour votre initiative, et suis disponible si vous souhaitiez plus d’informations.
Bien cordialement,
Sophie Giampetruzzi
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